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EXTRAITS DE L'ENQUÊTE SLOVENE DE 1993:
Page 1.Une comparaison des déclarations de Cesen données en 1990/91 avec celles en 1993 révèle les assertions contradictoires ainsi que le fait que dans ses efforts pour faire preuve de son ascension a Lhotse Tomo Cesen ne dit pas la vérité.
Page 1.Une comparaison des déclarations de Cesen données en 1990/91 avec celles en 1993 révèle les assertions contradictoires ainsi que le fait que dans ses efforts pour faire preuve de son ascension a Lhotse Tomo Cesen ne dit pas la vérité.
Note :Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.En 1990/91 Cesen maintien d’avoir pris la photo de la combe ouest de l’Everest du Sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l’étranger il présente une photo appartenant à Groselj !
En 1993, après l’ouverture de cette affaire se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent bien à ce dernier, Cesen affirme de n’avoir jamais photographié quoi que ce soit du sommet du Lhotse, de ne posséder aucune photo du sommet et de ne pas disposer d’aucune preuve matérielle de son ascension du Lhotse et de l’avoir dit partout et à tout le monde immédiatement après son retour.
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Dès le début de cette affaire sordide, dans un domaine ou la confiance à la parole de l'autre était la règle jusque là, par simple vision flash, en regardant par hasard le magazine vertical, Ivano Ghirardini avait immédiatement perçu les deux photos qui étaient fausses dans le reportage et il avait aussitôt hurlé et même porté plainte. Pourquoi? Ce n'était pas ce bidonnage sordide qui posait le plus problème dans un monde qui ne pense qu'à faire du fric par tous les moyens, mais bel et bien les conséquences. Toujours en vision flash, de façon instantanée, Ivano Ghirardini a vu d'un coup que des dizaines d'alpinistes allaient mourrir de ces références faussées.
Les deux photos provenaient d'autres expéditions slovènes antérieures sur la même face sud du Lhotse et publiées à l'envers volontairement toutes les deux pour dissimuler l'escroquerie. C'est la preuve que Jacques Glénat savait parfaitement qu'il publiait un faux et qu'il n'avait que faire des conséquences. Il vendait son magazine et touchait en plus des contrats publicitaires, alors !
Il faudra quatre ans pour que la vérité éclate enfin. Pendant ce temps Ivano Ghirardini fut l'objet d'une véritable campagne de diffamations sur Vertical de la part de Jacques Glénat , Tomo Cesen, Jean Michel Asselin. Peut être espéraient-ils étouffer la vérité en inspirant la terreur dans le monde alpin: "ghirardini râle parce qu'il est jaloux, bla bla, ..."
Les conséquences de cette escroquerie seront mortelles pour toute une génération d'alpinistes qui partaient avec des références faussées. Une fois de plus, le procureur de la république de Bonneville ou plus de 20 plaintes on été déposées dès 1987 (première escroquerie Cesen avec sa trilogie nocturne), ne fera rien pour les instruire. Il est de façon évidente complice et coupable du délit de complicité d'escroquerie, mise en danger de la vie d'autrui,....
Mais en France mafieuse "gaulliste", une impunité totale est accordée aux malfrats des réseaux. Il est à noter que la pègre de Chamonix est derrière cette sordide affaire.
Tomo Česen, la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme !
Voici son prétendu palmarès, en rouge nos commentaires:
Prétendues ascensions solitaires de cet escroc:
- 1986 : les trois faces nord du Cervin, de l'Eiger et des Grandes Jorasses en hivernale, en une semaine.
- Aucune preuve de cela. L'Eiger il raconte l'avoir fait de nuit par mauvais temps, de même pour le Cervin, c'est normal qu'il dise cela car ces parois sont visibles depuis les vallées, contrairement aux Grandes Jorasses. C'est ainsi qu'il explique que personne ne l'a vu faire cela ! C'est une caractéristique des escrocs, tous les psychiatres vous le confirmeront, ils ont toujours réponse à tout et assument tout avec une crane assurance, même les pires bobards, il faut leur reconnaitre ce talent.
- 1986 : première de l'éperon sud-est du K2
- La prétendue voie réalisée par Cesen est juste en face du camp de base, personne ne l'a vu faire cela! Aucune photo non plus, encore du mauvais temps pour expliquer cela. Cesen l'alpiniste fantôme qui ne grimpe que par temps de brouillard ou gros mauvais temps !
- 1987 : seconde ascension de No Siesta (ouverte par Stanislav Gledjura et Jan Porvaznik, du 21 au 23 juillet 1986 1 200 m, 6b/A2, 90º) en face nord des Grandes Jorasses en 14 h 00 du 29 au 30 septembre 1987
- Aucune preuve, aucune photo, personne ne l'a vu depuis les refuges en face (Couvercle, Leschaux)...du pur Cesen!
- 1989 solitaire hivernale de la Gabarrou-Long au Pilier Rouge du Brouillard du mont Blanc
- Cela a fait rire tous les alpinistes, en plus des aucunes preuves, aucunes photos, c'est sans aucune traces ! Cesen est non seulement l'alpiniste qui grimpe de nuit et par mauvais temps pour que personne ne le voit, mais en plus il ne laisse aucune trace de ses passages! Trop drôle cet escroc !
- 1989 : première de la face nord du Jannu (aussi appelé Khumbakharna, 7 710 m) : 2 800 m, 6b/A2, 90º, en 23 heures
- Oui, en 23 heures à roupiller au camp de base, à se marrer, à boire du thé et à écrire ses fameux récits ou il ne manque pas d'imagination, il manque juste de témoins, de preuves et de photos.
- 1990 : première de la face sud du Lhotse, en 64 heures (dont 46 pour l'ascension), alors considérée comme le « dernier grand problème » de l'Himalaya
- Cette fois notre escroc est pris la main dans le sac ! Il raconte qu'il a pris beaucoup de peine pour faire une photo depuis le sommet, en fait il s'agit d'une photo appartenant à Vicky Groselj et prise des années plus tôt sur un autre versant. Notre escroc l'a faite publier à l'envers sur Vertical en espérant que personne ne s'en apercoive. Sauf que Vicky Groselj, le propriétaire de la photo, s'en aperçoit, il reconnait sa photo même publiée à l'envers ! Ci dessous l'enquête de la justice slovène:
CONTREFAÇONS:
Un petit rappel pour comprendre cette escroquerie qu'est l'affaire Cesen:
1. Ivano Ghirardini est le premier alpiniste à réussir la Trilogie hivernale solitaire des trois plus célèbres face nord des Alpes (Cervin, Grandes Jorasses, Eiger) hiver 1977- 1978. En 1979 il devient conseiller technique d'Eider et Lafuma. En 1982 il résilie ses contrats et crée sa propre entreprise. Une véritable start up! En 1986, il obtient le premier prix de gestion des entreprises artisanales, achète des terrains à Chamonix. Cela crée des jalousies et des convoitises.
2. En 1987, le GMHM, l'ENSA, la Compagnie des Guides de Chamonix, les ets Ludger Simond, ...créent une première contrefaçon avec la trilogie héliportée de Christophe Profit. Les médias omettent de signaler que cette première a été réussie dix ans plus tôt par Ivano Ghirardini et répétée par le guide Tsunéo Hasegawa. Une contrefaçon est souvent une forme de manipulation. Dans ce cas des hélicoptères, des préparations de voies, des répétitions, etc...ont été utilisés.
En 1987 toujours, L'ENSA et des magazines de montagne français (Montagnes Magazine, Alpinisme et Randonnée, Vertical) nous sortent d'un chapeau la trilogie totalement imaginaire de Cesen, de nuit par mauvais temps. Le cycle des ascensions fulgurantes de l'alpiniste fantôme qui ne fait aucune photo, il ne peut pas puisqu'il ne fait rien, qui ne dit ne grimper que par mauvais temps ou de nuit (comme cela personne ne le croise ni ne le voit jamais), commence. La diffusion massive de ces désinformations dans des magazines de montagne français constitue une mise en danger de la vie d'autrui certaine. Ceux qui vont croire à ces manipulations et mensonges et qui voudront les imiter seront en danger puisque dès le départ tout est faux. l'affaire Cesen est une des pires affaire criminelle du XXe siècle ! Une trentaine au moins d'alpinistes vont mourir à cause de ces références complètement faussées. De plus s'en prendre à un schizoïde paranoïde pour le voler c'est le genre de folie caractéristique des normopathes qui se croient à l'abri puisque majoritaires à 99%. Les conséquences peuvent être suivant des vecteurs vertigineux surtout si le phénomène d'apparitions s'est produit, comme c'est le cas avec Ivano Ghirardini en 1998.
3. Ensuite, et c'était le but de ces contrefaçons, soit par trucages héliportés, soit par trucages médiatiques, il s'agissait de reproduire le modèle original d'entreprise crée par Ivano Ghirardini. Ce sera fait avec les marques "Compagnie des Guides" et "Great Escapes" et vous pouvez voir sur les publicités ci dessus qu'il est fait ouvertement référence à des exploits imaginaires comme la prétendue ascension de la face sud du Lhotse par Cesen qui est le plus gros canular ou la plus grosse escroquerie de l'histoire de l'alpinisme.
4. Il s'agit bien d'une affaire criminelle puisque les réseaux politico mafieux de la vallée de Chamonix qui sont à l'origine de ces deux contrefaçons vont utiliser dès 1987 des moyens d'état pour éliminer Ivano Ghirardini par tous les moyens, y compris des tentatives d'éliminations physiques directes. Sauf que, le fait qu'Ivano Ghirardini soit schizoïde paranoïde, il ne sera diagnostiqué ainsi qu'en 2007, est un avantage dans ce cas de situation extrême, c'est un facteur de survie certain.
"La contrefaçon constitue un phénomène en augmentation constante qui profite de la mondialisation des échanges et qui n’épargne aucun secteur de l’activité économique. La contrefaçon, quelle que soit la forme qu’elle revêt, constitue une atteinte grave portée au droit de propriété intellectuelle détenu par une personne ou une entreprise. Les conséquences de la contrefaçon sont lourdes :
Pour les entreprises
La contrefaçon entraîne des pertes de parts de marché pour les entreprises qui en sont victimes. Elle affecte également l’image de marque des produits authentiques. Les entreprises se voient, ainsi, spoliées du bénéfice de leurs efforts d'investissement, de recherche, de création de publicité et de développement commercial. "
Il s'agit du délit de risque causé à autrui. Selon l'article 223-1 du code pénal définit cette infraction comme « le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement ».
La divulgation dans les médias de reportages sur des "exploits" de façon erronée, par omission, dissimulation de la réalité, etc... a eu des conséquence mortelles dans ce domaine particulier qu'est l'alpinisme de pointe.
Par un paradoxe, mais ce n'est pas une surprise, ce sont les alpinistes qui ont cru ou croient encore à ces reportages idéalisations qui sont le plus en danger. Par exemple, Pierre Beghin croyait aux ascension de Cesen, il voulait les imiter, sauf que celles de Cesen étaient purement imaginaires alors qu'il était lui dans la réalité. Vous connaissez la suite.
L'ENQUÊTE DE LA JUSTICE SLOVÈNE:
ANNEE 1993
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE !
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
LES ASSERTIONS DE CESEN D'AUJOURD'HUI (après la découverte par Vicky Groselj que les photos publiées dans le Vertical No. 28, 199O, sous le titre "La combe ouest de l'Everest", utilisées par Cesen en vue d'authentifier son ascension au Lhotse et ultérieurement invoquées, apartiennent à Vicky Groselj!);
CESEN MAINTIENT DE N'AVOIR JAMAIS PHOTOGRAPHIÉ AU SOMMET DU LHOTSE. DE NE PAS POSSÉDER DES PHOTOS DEPUIS LE SOMMET, DE NE DISPOSER D'AUCUNE PREUVE MATÉRIELLE DU LHOTSE ET DE L'AVOIR DIT TOUJOURS ET PARTOUT!
1 • L'interview dans le "Slovenske Novice" (quotidien Slovène du 5 avril 1993:
"Après mon retour j'ai expliqué" en détail mes impressions du sommet, à la représentante anglaise de Reuter à Katmandu et je lui avais aussi dit que je ne possédais pas de photo."
Le Delo (quotidien Slovène), du 2 avril 1993:
"Vraiment je n'avais aucune preuve matérielle pour le Lhotse, car j'ai expliqué ne posséder aucune photo depuis le sommet. C'est ce que j'avais dit immédiatement, partout et à tout le monde. "
3. La lettre de Cesen adressée au public Slovène (pas interview!), VeCer du 2 Avril 1993, publiée aussi dans d'autres quotidiens Slovènes, par exemple le Dnevnik, le Slovenec, le Delo:
"Le reproche principal de la part des Français (remarque de V. Groselj ) était que je n'avais aucune preuve matérielle de mon ascension au sommet. C'est vrai que je n'en 'avais pas, car je j'avais bien dit de ne posséder aucune photo depuis le sommet."
4. La même affirmation a été donnée par Cesen dans l'émission "Sedma steza " à la telévision avril 1993 où il maintient de ne pas disposer d'aucune photo depuis le sommet du Lhotse
(preuve: copie vidéo de cette émission).
5. Dans la lettre envoyée à cette occasion par Cesen a la commission auprès l'Union des Alpinistes de la Slovénie Cesen également affirme:
"Je souligne explicitement de n'avoir jamais dis à personne que les diapositives de Groselj appartenaient a moi.... En ce qui concerne les preuves matérielles de mon ascension au sommet du Lhotse j'avais expliqué, tout au début de ne pas posséder aucunes preuves."
3. L ' Indian Mountaineer
No. 27 1991, Lettre publique de Cesen 1991:
(pas interview), faite À Ljubljana le 25 janvier 1991:
"Même avant d'aborder la face sud du Lhotse, je savais bien qu'en cas de succès il y aurait certainement quelqu'un qui refuserait à croire que j'avais vraiment fait cette ascension que plusieurs croient être impossible. C'était la raison principale pour ma prise des photos depuis la paroi et le sommet ce q u i m'a coûte beaucoup d'énergie. Ces photos d'ailleurs ne peuvent pas être contestées. Sans aucun doute, c 'est moi qui les a prises. "
Encore une citation de l'Indian Mountaineer:
"Si on veut voir et photographier la combe ouest (la vaste étendue de la glace entre l'Everest et le Lhotse) et le versant ouest de l'Everest, il faut monter par la face sud au sommet du Lhotse. Moi, je l'avais fait .... "
4. La Rivista della Montaqna, avril 1991, Lettre de Cesen (pas interview) - la même assertion que dans le Vertical No. 32 et dans l'Indian Mountaineer.
5. Le Pelo, du 28 janvier 1991, Lettre de cesen, signée, et les mêmes pièces et assertions
envoyées par lui même à ce quotidien Slovène, que dans les cas précédents.
Voir ci-jointes.
Cesen affirme aussi le suivant:
"... J'ai également dépense beaucoup d'énergie en vue de prendre les photos depuis clé la paroi et du sommet et je les avais pris!
Peut-être toute cette sale affaire commence déjà à la conférence de presse à Milan où quelques unes de mes diapositives sur cette expédition ont été perdues. Heureusement, ce n'étaient pas les plus importantes.... Si on veut voir et photographier la combe ouest (le vaste versant de glace entre l'Everest et le Lhotse) il faut monter par la paroi sud au sommet du Lhotse. Moi , j'avais fait tout ça ..."
6. Le Planinski Vestnik, mai 1991, le journal Slovène sur l'alpinisme. L'article comprend la traduction littérale d'un passa.ge de Vertical (éditions Glénat -France) où Pierre Beghin demande aux Russes pourquoi ils ne croient que Cesen a fait l'ascension de la face sud du Lhotse et encore moins d'avoir atteind le sommet, même s'il possède la photo de la combe ouest de l'Everest (c'est-à-dire la photo de Groselj utilisée par Cesen pour sa preuve ! ) .
Ensuite l'article donne les objections détaillées de Ghirardini disant qu'une seule photo de Cesen avec la combe ouest de l'Everest n'est pas une preuve suffisante que Cesen avait vraiment réussi la paroi sud.
Dans cet article, de même que dans le Delo du 28 janvier 1991, Cesen explique qu'il avait rapporté les photos depuis de la paroi et du sommet. . . .
ANNEE 1990/91
LES ASSERTIONS DE CESEN: IL AVAIT PRIS LA PHOTO DE LA COMBE OUEST DE L'EVEREST DU SOMMET DU LHOTSE! QUE CES PHOTOS (publiées dans le Vertical No. 28, 1990, p. 61, 1-2) ONT ETE PRISES PAR LUI MEME!
(effectivement, il s'agit des deux photos de Vicky Groselj , malgré le fait que la photo no. 1 est accompagnée du texte disant qu'au sommet Tomo a tout juste juste eu le temps de photographier la combe ouest de l'Everest, gui authentifie son ascension pour de vrai! la photo de la combe ouest de l'Everest a été prise par Viki Groselj le 30 avril 1989 a 8.350m, dans la paroi ouest du Lhotse, environ 200 m au-dessus du sommet!
1 . Vertical No 31, jan./-Fev. 1991, article "Tomo cesen répond"
- Vertical: la question porte sur l'affirmation des Russes disant que Cesen n'avait pas pu prendre la photo de la combe ouest de l'Everest depuis le sommet du Lhotse car l'on ne voyait pas la combe ouest de l'Everest depuis le sommet.
"Tu dis qu'il faisait mauvais temps et ta photo laisse voir du beau temps coté Everest ? "
Cesen: "C'est très normal, les nuages de mauvais temps couvrent régulièrement la face sud, alors qu'en direction de l'Everest il fait beau. Plusieurs personnes ont vu cette photo, elle ne pose pas de problème. Elle est, à la disposition de tous ceux qui veulent l'expertiser."
Vertical, No. fev . /ma.rs 1991 , article " Boomerang
lettre publique de Cesen à M. Ghirardini:
"Avant de me lancer dans la face sud du Lhotse, je savais déjà qu'en cas de succès il se trouverait sûrement quelqu'un pour contester cette ascension, jugée quasiment impossible. C'est pourquoi j'ai dépensé beaucoup d'énergie A prendre des clichés dans la paroi et au sommet. Malheureusement, lors d'une conférence que j'ai donnée à Milan quelques diapositives ont été perdues. Par chance j'ai pu récupérer les plus importantes...
Si on veut voir et photographier la combe ouest et le versant ouest de l'Everest, il faut impérativement sortir de la face sud et s'engager sur le sommet. Ce que j'ai fait, malgré un vent très fort.
Les deux Soviétiques ont parait-il affirmé n'avoir pas vu la combe ouest, et en ont conclu que je n'avais pas atteint le sommet ..."
UNE COMPARAISON DES DÉCLARATIONS DE CESEN DONNÉES EN 1990/91 AVEC CELLES EN 1993 REVELE LES ASSERTIONS CONTRADICTOIRES AINSI QUE LE FAIT QUE DANS SES EFFORTS POUR FAIRE PREUVE DE SON ASCENSION DU LHOTSE:
TOMO CESEN NE DIT PAS LA VERITE !
Toutes les traductions ont été faites par une interprète judiciaire. Les photocopies des articles cités sont ajoutées ci-après.
En 1990/91 Cesen maintiens d'avoir pris la photo de la combe
ouest de l'Everest dapuis le sommet du Lhotse, ainsi faisant preuve de son ascension. Pour en faire preuve à l'étranger il présente une photo de Groselj.
En 1993, APRÈS L'OUVERTURE DE CETTE AFFAIRE se référant à la découverte de Groselj que les photos en question appartiennent A ce dernier, Cesen affirme de n'avoir jamais photographié au sommet du Lhotse, de ne pas posséder des photos du sommet, de ne pas disposer d'aucune preuve matérielle du Lhotse et de l'avoir dit partout et à tout le monde immédiatement, après son retour.
Les assertions de Cesen sont citées sur les pages ci-après:
6. L'Ekipa (revue Slovène de sport) du 21 avril 1993:
Cesen: "Immédiatement après mon retour du Lhotse j ' ai dis au Ministère de tourisme à Katmandu que je n'avais aucune photo depuis le sommet. Quand on m'a demandé si je leur donnerais une photo depuis le sommet, je leur ai donné une réponse négative disant que je ne l'avais pas prise.
Question par l'Ekipa:
-Tu a emporté l'appareil de photo, donc pourquoi tu n'a pas photographié?
Cesen:
-Tout simplement, à cette occasion je n ai pas photoqraphié. Maintenant je pourrais vous expliquer pendant une heure pourquoi je ne l'avais pas fait.
Je soussignée Edita MAVCIC, interprète judiciaire permanent de la langue française, nommée par l'Arrêté du Ministère de la Justice de la République Socialiste de Slovénie No. P 74/A-15/76 du 24 novembre 1976, déclare que cette traduction est entièrement conforme à 1'original Slovène.
Ljubljana, le 14 juillet 1993
L'usurpation par Cesen des photos de Vicky Groselj !
Il n'existe aucune preuve des ascensions de Tomo Cesen et il a menti ouvertement dans le magazine Vertical (éditions glénat) en publiant sous son nom des photos appartenant à Vicky Groselj
Dès 1987, Ivano Ghirardini a contesté les prétendues réalisations rapportées dans les médias au vu des totales incohérences et invraisemblances des récits. Cesen a prétendu avoir fait une photo du sommet du Lhotse en 1990 en direction de la Combe Ouest. La photo "preuve" rapportée par Cesen est en fait une photo réalisée par l'alpiniste Slovène Vicky Groselj lors d'une expédition slovène antérieure sur le versant nord ouest. La Justice slovène a reconnu cette falsification et le caractère mensonger des déclarations de Cesen.
Cesen n'a donc plus aucune crédibilité!
Ok mais la publication par le magazine Vertical de photos "tomo cesen" à l'envers, en fait des photos appartenant à Vicky Grosselj, un autre alpiniste slovène et provenant d'expéditions slovènes antérieures constitue bien la preuve d'une manipulation. Ce magazine Vertical a été publié et il a servi de base à l'enquête de la justice slovène.
Vicky Groselj a quant à lui publié un livre avec SES photos et il est facile de voir que les photos originales lui appartiennent.
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen
Photos Vicky Groselj, expédition Lhotse 1981
La photo originale de Vicky Groselj depuis le sommet du Lhotse et subtilisée par Cesen
Voilà, il est important que cela soit dit, c'est une question de sécurité. Des références faussées peuvent conduire à des drames en montagne.
La lettre adressée par Vicky Groselj au magazine Vertical des éditions Glénat le 9 septembre 1993, après la découverte que des photos dont il est le propriétaire, subtilisées par Tomo Cesen, avaient été publiées sans son accord avec la mention "Tomo Cesen", dans le magazine Vertical N° 28, page 61.
Destinataire: VERTICAL Boîte Postale 177 6, rue de Lieutenant Chanaron F-38008 GRENOBLE Cedex Attn. de M. Asselin
Ljubljana, le 9 septembre 1993
Monsieur,
Je vous prie de publier ma réponse à votre article intitule ''DU RIFIFI EN SLOVENIE", publie" dans le Vertical No. 59 du juin 1993, Là, vous avez interprété l'assertion de Tomo Cesen ayant mentionné ma préoccupation avec les grosses expéditions officielles du Club Alpin Slovène ainsi que son critique de celles-ci. Pour cette raison il y aurait une véritable cabale contre lui en Slovénie, ce qui n'est pas vrai.
Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.
Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.
Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.
Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.
Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.
Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.
Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.
En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.
Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.
Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.
Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.
Je favorise tous les objectifs vedettes, supérieurs et intéressants des alpinistes Slovènes dans toutes les montagnes du monde, soit les ascensions du type classique, de poche ou en solo.
Les déclarations de Cesen sur les cabales contre lui ne sont que son désir à dévier l'attention et à obscurcir les faits se référant à son argumentation malhonnête de son ascension a Lhotse ainsi qu'à son fourvoiement intentionnel du public mondial.
Comme vous le savez bien, il a fait preuve de son ascension sur Lhotse dans le Vertical No. 28 en utilisant mes photos. Il a pris ma photo de la combe ouest de l'Everest, que j'avais prise dans la face ouest du Lhotse à environ 8.350 m, pour vous la présenter comme sa photo depuis le sommet du Lhotse et comme la preuve clé' de son ascension par la -face sud.
Il a même fait référence à cette photo dans sa lettre à M. Ghiraradini, publiée dans le Vertical No. 32 en 1991.
Avant que Cesen soit parti dans la face sud du Lhotse nous avons ensemble examiné toutes mes diapositives provenant de notre expédition dans la face sud du Lhotse en 1981, ainsi que celles de mon ascension par le côté ouest en 1989 dont Cesen pourrait se servir pour son éventuelle descente.
Quelques jours après son retour du Lhotse, Cesen a emprunté chez ma femme (moi, j'étais alors en Russie) mes diapositives du Lhotse disant qu'il voudrait les montrer à ses mécènes en Italie pour leur montrer où il avait été et qu'il n'avait pas les siennes. Il les a retournées dans quelques jours. Naturellement, les diapositives ne lui ont pas été prêtées avec l'intention pour qu'il se présente comme leur auteur.
Le fait de ne pas posséder de photos depuis le Lhotse, parce qu'il na pas photographié, a été publiquement exprimé par Cesen immédiatement après son retour en Slovénie. J'étais parmi ceux qui ont eu confiance en lui et lui ont cru à son mot.
En février de cette année M. Skarja m'a demandé à lui aider avec la préparation de l'exposition des livres et revues nationales et étrangères sur les réussites des alpinistes Slovènes. Alors j'ai par hasard pris en mes mains le Vertical No. 28 ou j'ai découvert à mon surprise que Cesen avait pris ma photo pour authentifier son ascension.
Malgré ma découverte ultérieure d'autres faits, articles et lettres publiques de Cesen, où il a invoqué ma photo, Cesen a attribué le tort relatif à la publication de mes deux photos dans votre revue avec lui reconnu comme auteur et pour justifier son ascension, à vous et à l'erreur éditoriale. C'est ce qu'il avait aussi écrit dans sa lettre publique publiée dans plusieurs journaux Slovènes le 2 avril 1993.
Je ne me suis adressé à vous que pour obtenir votre explication sur ce qu'il avait dit. Vous m'avez répondu qu'il ne vous avait jamais mentionné moi comme auteur des dites photographies.
Comme publié dans le Vertical du juin dernier, Cesen vous a donne les copies en vous disant que les originaux de ces photos lui étaient volés a Milan. Ces originaux se trouvaient chez moi d'ailleurs, et s'y trouvent encore.
Veuillez agréer, Monsieur, mes sentiments les meilleurs
VIKY GROSELJ
1-Les photos publiés sur Vertical
2-la photo originale de Vicky Groselj réalisée le 30 avril 1989 à 8300m d'altitude au Lhotse, versant Ouest ! On peut voir la supercherie facilement, puisque sur Vertical les photos de Vicky Groselj sont publiées à l'envers avec la mention photos Tomo Cesen
Si nous multiplions les messages c'est qu'il s'agit aussi de la plus grosse affaire criminelle de l'histoire de l'alpinisme !
La divulgation de ces fausses informations par Tomo Cesen sur des médias français complices et complaisants a eu des conséquences mortelles. En plus des délits de faux et d'usage de faux, d'escroquerie, de contrefaçons et j'en passe il faut aujouter celui de mise en danger de la vie d'autrui ayant causé la mort d'autrui à plusieurs reprises.
Toutes les personnes qui sont complices de cela doivent être poursuivies pour les mêmes motifs. C'est par exemple le cas de Jean Claude Marmier, Jean Michel Asselin, Pascal Sombardier ou de Messner qui prétendent qu'il existe des preuves irréfutables ! Oui, il existe suffisamment de preuves pour les traduire devant une cour d'assise ! Mais nous sommes en France et cette histoire montre simplement un état de corruption généralisée, même dans des domaines où on ne s’attendait pas à la trouver, l'alpinisme.
La divulgation de ces fausses informations par Tomo Cesen sur des médias français complices et complaisants a eu des conséquences mortelles. En plus des délits de faux et d'usage de faux, d'escroquerie, de contrefaçons et j'en passe il faut aujouter celui de mise en danger de la vie d'autrui ayant causé la mort d'autrui à plusieurs reprises.
Toutes les personnes qui sont complices de cela doivent être poursuivies pour les mêmes motifs. C'est par exemple le cas de Jean Claude Marmier, Jean Michel Asselin, Pascal Sombardier ou de Messner qui prétendent qu'il existe des preuves irréfutables ! Oui, il existe suffisamment de preuves pour les traduire devant une cour d'assise ! Mais nous sommes en France et cette histoire montre simplement un état de corruption généralisée, même dans des domaines où on ne s’attendait pas à la trouver, l'alpinisme.