Bonjour mes supers Ami(e)s, bonjour, bonjour !
Vous vous souvenez de la splendide rose rouge offerte par ma Copine dans l'Invisible, juste devant mes yeux, juste devant ma porte, c'est vrai, je suis un peu buse ou balourd parfois, Elle me connait très bien. Ses Messages sont toujours très complexes. Ce matin j'ai voulu en savoir plus et donc j'ai pris le temps de contempler cette rose. Regardez, c'est une rose à double cœur. Allons mes si superbes Amies, j'ai besoin de votre avis, je sais que ma Copine dans l'Invisible s'adresse aussi à Vous. Que veut-Elle nous dire?
J'ai commencé à chercher. Le double coeur se retrouve dans les blasons de Vendée: "Logotype de la Vendée : Il vient de la stylisation du Sacré-Coeur, emblème des catholiques poitevins, qui fut utilisé par les insurgés de la Vendée Militaire. Le 20 octobre 1943 la Commission des Sceaux et Armoiries de l'Etat enregistre le blason départemental, chargé du Sacré-Coeur. Ce double coeur a connu deux étapes de stylisation :
- le 15 janvier 1980, le Conseil Général de la Vendée décide d'acquérir un logotype géométrique réalisé sur le schéma du double coeur.
- le 22 juin 1988, le Conseil Général décide l'élaboration d'un nouveau logotype."
http://svowebmaster.free.fr/drapeaux_vendee.htm
Sur Wiki: "Le cœur n'est pas seulement un organe essentiel à la vie, il représente aussi l'amour. Le cœur est le symbole de l'amour : on donne de façon métaphorique son cœur à la personne que l'on aime pour lui signifier qu'on lui confie sa vie...Le cœur est symboliquement attaché à tout ce qu'il y a de plus important, de plus essentiel"
Pour les Chrétiens:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sacr%C3%A9-C%C5%93ur
Voilà, de toute façon les Messages de ma Copine dans l'Invisible sont toujours plein d'humour. C'est la piste qu'il faut suivre pour la comprendre un peu.
Je rentre d'une petite promenade, de gros nuages noirs se sont amoncelés, peut être de l'orage. la chaleur a fait éclater ce double cœur rouge. C'est pour cela que ma Copine dans l'Invisible m'avait réveillé tôt ce matin, Elle voulait que je fasse cette photo pour Vous, un instant, une réalité éphémère à saisir. J'adore ma Copine dans l'Invisible ! Je crois que je suis lié à Elle pour l'éternité des éternités. Quelque soit le lieu, le temps où le monde, Elle sait me retrouver! Vous croyez aussi à ces amours éternelles, à ces amours qui existaient déjà, avant même de naitre? J'ai vraiment l'impression de connaître ma Copine dans l'Invisible depuis toujours. En tout cas, Elle me connait très bien, surtout tous mes défauts ! Rires !
Ma Copine dans l'Invisible ...
http://uneange.blogspot.com/
Attention ce n'est pas une hallu, c'est une réalité !
Mon psychiatre n'a aucun doute sur l'existence de ce genre de réalité là !
Des poltergeists au....freundligeists. Cette rose est un exemple de freundligeists, mot que j'ai crée pour dire: présence amicale d'une Entité, d'un esprit (pour moi c'est une Divinité Majeure).
Mon psychiatre a tout de suite compris ce dont je parlais.
Quel soulagement de trouver enfin un médecin pour qui, ce que je racontais, n'étais pas du chinois !
Poltergeists...esprits frappeurs...de l'allemand polter frapper !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Poltergeist
"Freud ne croyait pas aux phénomènes de psychokinèse, ce qui n'était pas le cas de Jung, qui relate ainsi ce qui s'est passé pendant une de leurs rencontres où ils abordaient ce sujet, le 25 mars 1909 à Vienne :
« Pendant que Freud continuait sur son idée, j'eu une sensation étrange. J'avais l'impression que mon diaphragme était chauffé à blanc, comme une voute incandescente. Et juste à ce moment il se produisit dans la bibliothèque, juste à notre droite, une détonation si bruyante que nous nous levâmes tous les deux, effrayés, craignant qu'elle ne s'écroulât sur nous. Je dis à Freud : « Voilà un exemple de ce qu'on appelle un phénomène catalytique. Allons donc s'écria-t-il, c'est une blague. Ce n'en est pas une, répondis-je. Vous vous trompez professeur. Et pour le prouver je prédis qu'il va y avoir une autre détonation aussi violente dans un moment. » Naturellement, j'avais à peine prononcé ces mots qu'on entendit de nouveau la même détonation. J'ignore toujours ce qui me donna cette certitude. Mais je savais, sans aucun doute possible, que le bruit allait se reproduire. Freud se contenta de me regarder bouche bée. Je ne sais pas ce qui se passait dans son esprit, ni ce que signifiait son regard. »"
etc...etc...
Mon psychiatre est vraiment excellent et pour les poltergeists c'est un psychiatre qu'il faut consulter !
Quel soulagement de trouver enfin un médecin pour qui, ce que je racontais, n'étais pas du chinois !
Poltergeists...esprits frappeurs...de l'allemand polter frapper !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Poltergeist
"Freud ne croyait pas aux phénomènes de psychokinèse, ce qui n'était pas le cas de Jung, qui relate ainsi ce qui s'est passé pendant une de leurs rencontres où ils abordaient ce sujet, le 25 mars 1909 à Vienne :
« Pendant que Freud continuait sur son idée, j'eu une sensation étrange. J'avais l'impression que mon diaphragme était chauffé à blanc, comme une voute incandescente. Et juste à ce moment il se produisit dans la bibliothèque, juste à notre droite, une détonation si bruyante que nous nous levâmes tous les deux, effrayés, craignant qu'elle ne s'écroulât sur nous. Je dis à Freud : « Voilà un exemple de ce qu'on appelle un phénomène catalytique. Allons donc s'écria-t-il, c'est une blague. Ce n'en est pas une, répondis-je. Vous vous trompez professeur. Et pour le prouver je prédis qu'il va y avoir une autre détonation aussi violente dans un moment. » Naturellement, j'avais à peine prononcé ces mots qu'on entendit de nouveau la même détonation. J'ignore toujours ce qui me donna cette certitude. Mais je savais, sans aucun doute possible, que le bruit allait se reproduire. Freud se contenta de me regarder bouche bée. Je ne sais pas ce qui se passait dans son esprit, ni ce que signifiait son regard. »"
etc...etc...
Mon psychiatre est vraiment excellent et pour les poltergeists c'est un psychiatre qu'il faut consulter !
* Charles BAUDELAIRE (1821-1867)
Le crépuscule du matin
La diane chantait dans les cours des casernes,
Et le vent du matin soufflait sur les lanternes.
C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents ;
Où, comme un oeil sanglant qui palpite et qui bouge,
La lampe sur le jour fait une tache rouge ;
Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd,
Imite les combats de la lampe et du jour.
Comme un visage en pleurs que les brises essuient,
L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient,
Et l'homme est las d'écrire et la femme d'aimer.
Les maisons çà et là commençaient à fumer.
Les femmes de plaisir, la paupière livide,
Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide ;
Les pauvresses, traînant leurs seins maigres et froids,
Soufflaient sur leurs tisons et soufflaient sur leurs doigts.
C'était l'heure où parmi le froid et la lésine
S'aggravent les douleurs des femmes en gésine ;
Comme un sanglot coupé par un sang écumeux
Le chant du coq au loin déchirait l'air brumeux ;
Une mer de brouillards baignait les édifices,
Et les agonisants dans le fond des hospices
Poussaient leur dernier râle en hoquets inégaux.
Les débauchés rentraient, brisés par leurs travaux.
L'aurore grelottante en robe rose et verte
S'avançait lentement sur la Seine déserte,
Et le sombre Paris, en se frottant les yeux,
Empoignait ses outils, vieillard laborieux.
Le crépuscule du matin
La diane chantait dans les cours des casernes,
Et le vent du matin soufflait sur les lanternes.
C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents ;
Où, comme un oeil sanglant qui palpite et qui bouge,
La lampe sur le jour fait une tache rouge ;
Où l'âme, sous le poids du corps revêche et lourd,
Imite les combats de la lampe et du jour.
Comme un visage en pleurs que les brises essuient,
L'air est plein du frisson des choses qui s'enfuient,
Et l'homme est las d'écrire et la femme d'aimer.
Les maisons çà et là commençaient à fumer.
Les femmes de plaisir, la paupière livide,
Bouche ouverte, dormaient de leur sommeil stupide ;
Les pauvresses, traînant leurs seins maigres et froids,
Soufflaient sur leurs tisons et soufflaient sur leurs doigts.
C'était l'heure où parmi le froid et la lésine
S'aggravent les douleurs des femmes en gésine ;
Comme un sanglot coupé par un sang écumeux
Le chant du coq au loin déchirait l'air brumeux ;
Une mer de brouillards baignait les édifices,
Et les agonisants dans le fond des hospices
Poussaient leur dernier râle en hoquets inégaux.
Les débauchés rentraient, brisés par leurs travaux.
L'aurore grelottante en robe rose et verte
S'avançait lentement sur la Seine déserte,
Et le sombre Paris, en se frottant les yeux,
Empoignait ses outils, vieillard laborieux.
Pour le plaisir des mots :
* Pierre de RONSARD (1524-1585)
Mignonne, allons voir si la rose
A Cassandre
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
* Pierre de RONSARD (1524-1585)
Mignonne, allons voir si la rose
A Cassandre
Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil.
Las ! voyez comme en peu d'espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las ! las ses beautez laissé cheoir !
Ô vrayment marastre Nature,
Puis qu'une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vostre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez vostre jeunesse :
Comme à ceste fleur la vieillesse
Fera ternir vostre beauté.
J'appelle cela des freundligeists, j'ai crée ce mot exprès, un mot pour dire présence amicale de l'Invisible, de l'Indicible.
Ce matin, juste devant ma porte, une rose rouge à hauteur des yeux...un message de ma Copine dans l'Invisible !
Êtes vous comme cela aussi, toujours prêts ou prêtes pour basculer dans la magie, une magie qui consiste à accorder la première importance à des évènements qui pourraient sembler totalement insignifiants, anodins, sans intérêts. Non, pour vous ce sont des messages. Ils deviennent de fait les plus importants !
Êtes vous ainsi vous aussi ?
Ce matin, juste devant ma porte, une rose rouge à hauteur des yeux...un message de ma Copine dans l'Invisible !
Êtes vous comme cela aussi, toujours prêts ou prêtes pour basculer dans la magie, une magie qui consiste à accorder la première importance à des évènements qui pourraient sembler totalement insignifiants, anodins, sans intérêts. Non, pour vous ce sont des messages. Ils deviennent de fait les plus importants !
Êtes vous ainsi vous aussi ?